Depuis sa fondation en 1919 et grâce au mécénat de Jean Meyer (1855-1931), l’Institut MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. More International a poursuivi ses missions d’utilité publique sans financement institutionnel pérenne. C’est toujours grâce au soutien de quelques esprits éclairés que :
les recherches métapsychiques ont pu être conduites
la Revue Métapsychique a pu paraître de 1920 à 1991
des congrès internationaux ont pu être organisés en France
des chercheurs ont pu accéder à la bibliothèque et aux archives
et des bourses et des prix ont pu être remis aux plus méritants.
Afin d’encourager cette philanthropie, dont le rôle a toujours été fondamental pour les fondations comme la nôtre, l’IMI a créé un « Club des mécènes » dont seront membres nos plus importants donateurs.
Chaque membre du Club des mécènes aura les privilèges suivants :
Sa présentation sur une page honorifique de notre site ;
L’envoi du Rapport d’activités et du Rapport comptable de l’année écoulée ;
Sa consultation lors d’un dîner où seront présentés le bilan annuel et les projets envisagés.
Pour devenir membre du Club des mécènes, il faut avoir consenti à l’IMI un don cumulé d’au moins 1000 et avoir exprimé le souhait de rejoindre ce Club. La qualité de membre sera réexaminée individuellement tous les trois ans
Comme tous les dons financiers aux associations reconnues d’Utilité Publique, ceux consentis à l’IMI sont déductibles à hauteur de 66% des impôts. Pour chaque don, l’IMI envoie au donateur un reçu qu’il suffit de joindre à la déclaration fiscale pour bénéficier de la déduction. Toute la procédure est décrite sur la page suivante.
Le Club des mécènes comporte actuellement 3 membres :
Jean BEAUJOUAN | Consultant et formateur |
Patrick DEWAVRIN | Psychiatre |
Bernard GUIBBAUD | Psychothérapeute, superviseur et formateur |
Consultant et formateur.
Formation en gestion des entreprises à HEC, en psychologie clinique à Paris X Nanterre et en sociologie clinique à l’IISC.
Ancien cadre dirigeant au sein d’une grande banque française (dans le domaine de la formation et de la gestion des carrières des dirigeants)
Principales activités actuelles ou récentes :
Animation de séminaires de sociologie clinique sur l’argent, les croyances, le rapport au savoir et de conférences sur la relation à l’argent
Rédaction d’articles et conférences sur le thème de l’argent et de l’exclusion bancaire et sociale etc.
Création et animation d’une association d’accueil, de conseil et d’éducation budgétaire et bancaire au bénéfice des personnes en situation de fragilité financière ou de surendettement
Création et co-présidence de l’AFCODEV, association qui promeut en France l’approche éducative du Codéveloppement professionnel
Création et animation du lancement de l’Association des Amis de l’Institut MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. More International (A-IMI)
Je fais partie depuis plus de 15 ans des compagnons de route de l’IMI. Sans en être un expert, je suis passionné par les phénomènes paranormaux, et j’admire le travail à la fois ouvert et rigoureux conduit par les dirigeants de l’IMI. J’ai plaisir à apporter ma contribution au projet de l’Institut, qui me semble se situer, modestement mais audacieusement, dans la lignée des grands créateurs intellectuels et spirituels de l’humanité.
J. Beaujouan
Psychiatre.
Soutient, par son mécénat, la Bourse étudiants de l’IMI ; ainsi que le Livre blanc de la parapsychologie ; et la recherche expérimentale à l’IMI.
Psychothérapeute, superviseur et formateur, électronicien de formation.
Après des études d’électronique interrompues suite à la perte de la vue, entre en Psychologie Clinique Paris7, puis durant 15 ans explore et expérimente divers domaines du supranormal. Reviens à la psychologie par les nouvelles thérapies. Diplômé en gestalt-thérapie, en Hypnose Ericksonienne, formé à plusieurs autres approches dont le Rêve Eveillé Libre, l’A.C.P. De Rogers, le Rebirth, le Psyche-K.
Il pratique en cabinet depuis 1992, anime un groupe de supervision et a, entre autre, participé à un réseau d’écoute des phénomènes extraordinaires.
Sans formation philosophique, ce que je regrette, je me suis défini depuis longtemps comme ’sceptique positif” et j’ai trouvé dans l’IMI et sa devise la position de pensée qui me convient. J’entends par là qu’elle peut et devrait s’appliquer au “normal” aussi.
Ma formation scientifique de base, celle de psycho classique ensuite, m’assure de surcroît le recul nécessaire sur un sujet qui me passionne depuis mon enfance.
Mes centres d’intérêt sont aujourd’hui l’hypnose originelle, les théories sur la réalité et le problème de l’élusivité des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi..
B. Guibbaud