L’A-IMI a le plaisir de vous proposer le samedi 18 mars 2017 de 14 à 18 heures, au Siège de lIMI un « Café MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. » consacré au « Rêve Lucide ».
Cette réunion sadresse aux personnes voulant découvrir, s’intéressant au Rêve Lucide ou
l’ayant déjà pratiqué, en vue den approcher et appréhender les mécanismes pour
les premiers, et pour les seconds d’approfondir leurs pratique à travers ces échanges
d’expérience pouvant déboucher sur une réflexion plus théorique.
Le rêve lucide (Lucid Dream), forme de rêve endormi durant lequel le rêveur
a conscience d’être en train de rêver [1], peut être, comme le rêve spontané classique du sommeil, une ouverture à la manifestation de phénomènes non expliqués tel la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. ou la précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux..
Cet état de conscience, comme dailleurs tout état de conscience modifiée, a
depuis longtemps interpelé les personnes intéressées par les phénomènes parapsychologiques.
Etudié dans des laboratoires, par exemple à Stanford dès les années 80 [2], le rêve lucide reste une expérience personnelle curieuse présentant de multiples aspects sur lesquels partager.
Dans ce café métapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie., il vous sera proposé de discuter autour de 2 thèmes concernant celui-ci. A travers ces échanges, les assistants « non-initiés » pourront mieux comprendre l’intérêt autant que les difficultés de la pratique.
Dans un premier temps, nous parlerons des expériences nous confrontant à nos peurs. En effet, bien que l’on se sache en train de rêver, la peur peut être ressentie à plusieurs étapes de ce rêve
Par exemple, le vécu dune expérience de sortie hors du corps (O.B.E.) peut surprendre ; on peut être lucide lors dune paralysie du sommeil et pourtant être mal à laise ; de même, des personnages du rêve lucide peuvent être en apparence hostiles, comme un fauve, un chien qui aboie ; Des
situations peuvent engendrer la peur, comme le saut dune très haute falaise, larrivé dun tsunami, lobscurité dun lieu, ou juste une porte fermée à ouvrir avec lincertitude de ce que lon va trouver derrière, et bien d’autres cas, la liste n’étant pas exhaustive…
Si vous êtes un « rêveur lucide », dans le vécu éventuel de ces situations, quavez-vous fait ou pensé ? Comment vous en êtes-vous sorti ? Quelle attitude avez-vous choisie ?
Comment le fait de savoir que vous rêviez vous a-t-il permis davancer ?
Dans un deuxième temps, nous pourrons parler des intuitions ou dexpériences type télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. ou précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux. pouvant parfois surgir en rêve lucide.
Comment avez-vous vérifié la nature du phénomène, démarche importante ?
Y a-t-il moyen de stimuler lintuition ?
Comment en avez-vous parlé autour de vous et comment le récit de ces
expériences a-t-il été reçu ?
Et, de tous ces partages, pourquoi ne surgirait-il pas de nouvelles idées pour
approfondir cette pratique ou pour mieux l’appréhender scientifiquement ?
Marc André qui animera cet atelier déchanges est membre de l´A-IMI, et, formé à lhypnose ericksonnienne, il sintéresse depuis longtemps aux divers états de conscience ; rêveur lucide lui-même depuis 25 ans ceci la amené à se poser beaucoup de questions sur ce sujets.
Le nombre de place étant limité merci de vous inscrire auprès du secrétariat.
Informations pratiques : Ce « Café » aura lieu le samedi 18 mars 2017 de 14 H à 18 H, au siège de l’IMI, 51 rue de l’Aqueduc, 75010 Paris.
Métros : Stalingrad ou Louis Blanc.
Tarifs : tarif normal : 10 ; membres d’A-IMI : 7 (sur présentation de la carte).
(à régler sur place, merci si possible de prévoir la monnaie)
Réservations : Téléphonez à l’Institut
01 46 07 23 85
(les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 10 à 15H)
ou
envoyant un mail à :
contact@metapsychique.org
A vous y retrouver nombreux