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Faq GEIMI

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Les réponses aux questions fréquemment posées à propos du Groupe Etudiants de l’Institut Metapsychique International, service de l’A-IMI pour les étudiants.

Quelles sont les conditions pour pouvoir rejoindre GEIMI ?

Comment intégrer GEIMI ?

Est-il nécessaire d’habiter sur Paris ?

Est-il nécessaire d’avoir déjà des connaissances en parapsychologie au préalable pour intégrer GEIMI ?

Est-il nécessaire de croire aux phénomènes psi pour intégrer GEIMI ?

Faut-il nécessairement vouloir devenir parapsychologue pour intégrer GEIMI ?

Les thèmes abordés par GEIMI ne portent-ils que sur la parapsychologie ?

Comment l’enseignement au sein de GEIMI est-il dispensé ?

Comment fonctionne GEIMI ? Quelles sont ses activités ?


Quelles sont les conditions pour pouvoir rejoindre GEIMI ?

Il est nécessaire :

d’être étudiant,

d’avoir validé un enseignement de niveau Bac+2, quelle que soit la discipline,

d’avoir une possibilité d’accéder à Internet fréquemment,

Il est également préférable :

de comprendre l’anglais à l’écrit,

d’avoir les capacités de travail permettant à la fois de suivre votre cursus d’étudiant « classique » et les activités de GEIMI,

d’avoir lu la plupart des articles « fondamentaux » présents sur le site de l’IMI.

Comment intégrer GEIMI ?

Pour rejoindre ce groupe, il faut :

1. Etre inscrit à l’A-IMI au tarif étudiant de 15€, en ayant joint la photocopie ou le scan de votre carte étudiant en cours de validité.

2. Adresser un mail de motivation à plrabeyron@wanadoo.fr expliquant brièvement les raisons pour lesquelles vous souhaitez rejoindre ce groupe. Vous recevrez une réponse de la part de Paul-Louis Rabeyron, membre du Comité Directeur de l’IMI et responsable du GEIMI.

Est-il nécessaire d’habiter sur Paris ?

Non, les étudiants peuvent habiter n’importe où en France. Il est cependant préférable que vous puissiez vous déplacer au moins une fois par an sur Paris (il y a généralement des possibilités d’hébergement entre étudiants).

Est-il nécessaire d’avoir déjà des connaissances en parapsychologie au préalable pour intégrer GEIMI ?

Pas nécessairement, étant donné que GEIMI a pour objectif cette formation. Il est néanmoins préférable d’avoir déjà lu quelques ouvrages sur le sujet. Plus vos connaissances en parapsychologie sont approfondies, plus vous aurez de chances de pouvoir intégrer le groupe. Nous conseillons en priorité la lecture de « An introduction to parapsychology » de Harvey Irwin et Caroline Watt (pour les étudiants comprenant l’anglais) ou à défaut de « La conscience invisible » de Dean Radin (qui malgré son caractère de plaidoyer avoué pour l’existence du psi offre une vue d’ensemble intéressante des expériences et des méthodes utilisées en parapsychologie expérimentale). Nous conseillons également l’ouvrage « Somnambulisme et Médiumnité » de Bertrand Méheust pour la dimension historique. Deux articles sont aussi conseillés en priorité aux étudiants en début de formation car proposant deux points de vue différents sur les résultats expérimentaux actuels : « Give the null hypothesis a chance » de James Alcock et « Recueil de preuves en faveur du psi » d’Adrian Parker et Göran Brusewitz.

Est-il nécessaire de croire aux phénomènes psi pour intégrer GEIMI ?

L’objectif du groupe n’est pas de prouver – ou de défendre – la réalité des phénomènes psi. Il faut entendre le terme « psi » comme symbole d’une énigme que nous cherchons à aborder à travers une approche rationnelle, en utilisant des méthodologies scientifiques. La seule approche que nous défendons est donc une approche scientifique qui repose aussi bien sur les travaux issus des chercheurs d’orientation sceptiques que des travaux provenant de la communauté parapsychologique. Nous sommes en particulier attentifs à toutes les formes de dérives, aussi bien du côté sceptique que parapsychologique, et les étudiants sont formés à aborder les travaux sur ces questions dans une perspective critique.

Faut-il nécessairement vouloir devenir parapsychologue pour intégrer GEIMI ?

Non, et cela d’autant plus qu’il n’y a pas de poste universitaire en parapsychologie en France et qu’ils demeurent très peu nombreux à l’étranger. Néanmoins, pour les étudiants français qui espèrent un jour travailler dans un laboratoire de parapsychologie, GEIMI est actuellement, à notre connaissance, la seule possibilité dans l’hexagone d’être formé dans cette perspective.

Les thèmes abordés par GEIMI ne portent-ils que sur la parapsychologie ?

L’approche des phénomènes dits paranormaux n’est possible qu’à la rencontre de champs de recherche différents. C’est pourquoi les formations des étudiants présents au sein de GEIMI sont particulièrement variées : physique, biologie, psychologie, archéologie, médecine, philosophie, etc. Les échanges et réflexions portent donc tout autant sur l’étude des phénomènes dits paranormaux que sur d’autres aspects plus généraux ayant trait à différents domaines de recherche, que ce soit en sciences humaines ou en sciences exactes.

Comment l’enseignement au sein de GEIMI est-il dispensé ?

GEIMI propose un cadre de réflexion et d’échange au sein duquel les étudiants peuvent se former selon le temps et la motivation qui sont les leurs.

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Si l’IMI est certes une fondation reconnue d’utilité publique, il n’en est pas pour autant habilité à dispenser des diplômes. Il n’y a donc pas d’examens. Cependant, nous vérifions régulièrement que les étudiants progressent dans leurs lectures et sont dans une logique de formation.

Comment fonctionne GEIMI ? Quelles sont ses activités ?

Les activités de GEIMI sont divisées en différents pôles :

« parapsychologie expérimentale » : ce pôle a pour objectif d’initier les étudiants aux méthodes expérimentales et à la discussion critique des résultats obtenus lors d’expériences portant sur les phénomènes réputés paranormaux.

« sciences humaines » : ce pôle, prenant en compte l’apport fondamental des sciences humaines dans l’étude des phénomènes psi, en particulier anthropologiques, historiques, sociologiques et psychologiques, vise à sensibiliser les étudiants à ne pas négliger ainsi des approches dont les portées diachroniques et phénoménologiques sont essentielles.

« épistémologie et philosophie » : ce pôle permet de favoriser l’acquisition par les étudiants de connaissances de base sur le plan épistémologique, afin d’aborder au mieux les questions complexes soulevées par l’étude des phénomènes « dits » paranormaux.

et « scepticisme et non-psi » : ce pôle permet aux étudiants d’affiner leurs connaissances des travaux et de la littérature sceptique (nous conseillons en particulier les travaux de James Alcok, Henri Broch, Richard Wiseman, Chris French). Ce pôle cherche à favoriser également une revue critique de la littérature parapsychologique et sceptique.

Un ou plusieurs étudiants sont responsables des activités effectuées au sein de chacun de ces pôles.

Outre son objectif principal qui est la formation, le groupe a mis en place un certain nombre de projets dont :

Un recensement des « sujets psi » potentiels en France. Dans ce cadre, nous contactons toute personne avec laquelle nous pensons que la mise en place de recherche peut s’avérer intéressante,

La participation à la mise en place et au déroulement de recherches au sein de l’IMI,

Le contact avec différents chercheurs et universitaires français intéressés par ces questions en vue du développement d’un réseau universitaire,

L’organisation d’expériences, initiées par les étudiants, selon des axes de recherches déterminés par le groupe ou propre à des intérêts plus spécifiques de certains. Les travaux de ce type permettent principalement, pour l’instant, aux étudiants de se former aux méthodes de la parapsychologie.